Le fluorure de sodium est connu depuis
longtemps en tant que répressif majeur des fonctions intellectuelles. En
particulier, c’est l’un des composants du Prozac et du gaz Sarin, qui fut
employé au Japon dans la fameuse attaque du métro. De nombreuses preuves
scientifiques indépendantes ont montré que le fluorure de sodium provoque à la
longue des troubles mentaux variés rendant les gens dociles et serviles,
quelquefois carrément stupides, en plus de diminuer la longévité et
d’endommager la structure osseuse. Ce fluorure de sodium, c’est le
« Fluor » que vous trouvez dans votre dentifrice ou celui de vos
enfants.
La première utilisation du fluor dans l’eau potable date des camps de concentration. Quelqu’un penserait-t-il que les nazis firent cela parce qu’ils se sentaient concernés par la santé dentaire de leurs prisonniers ? En fait, cette fluorisation massive des réserves d’eau du camp servait à stériliser les prisonniers et à les abrutir pour s’assurer de leur docilité.
Le chimiste Charles Perkins dit que des doses répétées de
fluor, en quantité infinitésimale, réduisent les possibilités d’un individu à
résister à la domination, en empoisonnant lentement, par narcotisme, une partie
précise de son cerveau, le soumettant ainsi à
la volonté de ceux qui veulent le gouverner. Il ajoute que le fluor est une «
lobotomie légère et commode » et que la véritable raison qui se cache
derrière la fluorisation de l’eau n’a rien à voir avec la santé dentaire,
encore moins celle des enfants.
Le fluor : un déchet industriel
L’idée d’introduire du fluor dans l’eau potable est venue de la
famille Mellon, aux États-Unis, qui dirige le cartel de l’aluminium ALCOA. Les
fluorines sont des déchets de l’industrie de l’aluminium et ce sont des agents
pollueurs importants des fleuves et des rivières. Elles empoisonnent le sol,
les poissons et les animaux. Comme leur traitement aurait coûté une fortune aux
industriels de l’aluminium, la famille Mellon manauvra la situation de telle
sorte que ces déchets empoisonnés deviennent non seulement un moyen
discret de contrôle humain – ce qui intéresse tous les gouvernements – mais
aussi une énorme source de revenus, (avec une marge de profits de 20 000
%……pour ce qui n’est qu’un déchet industriel).
Et dans l’eau potable ?
Le Dr Hardy Limeback, détenteur d’une
maîtrise en sciences et d’un doctorat en biochimie, chef du Département de
dentisterie préventive à l’Université de Toronto et président de l’Association
canadienne pour la recherche dentaire fut, un temps, l’un des principaux
promoteurs pour l’ajout du fluor dans l’eau dite potable du Canada. Pourtant,
après 15 ans, il déclara brusquement avoir changé d’avis. Il a dit alors : « Les enfants de moins de 3 ans ne devraient jamais utiliser
de dentifrice fluoré, ni boire de l’eau fluorée. Et, les formules des produits pour bébés ne doivent jamais
être faites avec l’eau du robinet de Toronto. Jamais ! ». Une étude
de l’Université de Toronto a révélé que les habitants des villes dont l’eau est
fluorée avaient deux fois plus de fluor dans les os des hanches que ceux des
zones non fluorées. L’étude a aussi établi que le fluor change l’architecture
de base des os humains. Il existe une condition débilitante nommée fluorose du
squelette provoquée par l’accumulation de fluor dans les os, ce qui les rend
fragiles. Les
premiers symptômes sont la fragilisation des dents et des taches sur l’émail.
Les dentistes ne font que répéter ce qu’on leur a dit
D’après le Dr Limeback, ceux qui continuent à promouvoir le fluor,
se basent sur des données totalement contestables, datant de 50 ans. « Les
dentistes ne sont absolument pas formés en toxicité, dit-il. Votre
dentiste bien intentionné est simplement en train de suivre 50 ans de
désinformation de la santé publique et des associations dentaires. Moi aussi,
je l’ai fait? ».
Lors d’un discours aux étudiants du Département de dentisterie de
l’Université de Toronto, le Dr Limeback leur a avoué que, sans le vouloir, il
avait induit en erreur ses collègues et tous ses étudiants précédents. Il avait
refusé pendant 15 ans de prendre connaissance des études de toxicologie qui
sont pourtant à la disposition de tout le monde. « Empoisonner nos
enfants était bien la dernière chose à laquelle j’aurais pensé, a-t-il déclaré.
La vérité fut une pilule amère à avaler, mais je l’ai avalée. ».
Depuis, bien que le plus grand défenseur du fluor ait
maintenant condamné son utilisation, les associations dentaires des États-Unis
et du Canada, les organisations pour la santé publique, avec celles du
Royaume-Uni et de partout ailleurs, continuent à dire aux peuples « que
le fluor est bon pour eux ».
Mais moi je dis
qu’actuellement, avec l’ère de l’Internet, quelqu’un qui ne sait pas est
quelqu’un qui ne veut pas savoir, donc qui s’en fout !
N’achetez plus de fluor, c’est tout
Mais comment alerter tous ces gens qui sont intoxiqués au fluor
depuis des années, donc soumis à l’autorité et ayant perdu tout sens critique ?
Et qui de plus optent allègrement pour les dentifrices BI-fluorés et même
TRI-fluorés ? donc meilleurs !!! Mais vous, surtout pour vos enfants, s‘il y
a encore des tubes de dentifrice au fluor qui traînent dans votre salle de
bain, jetez-les, et procurez-vous un dentifrice inoffensif ? ce ne
sont pas les marques qui manquent ? consultez les boutiques diététiques. Il y
en a aussi en pharmacie, mais très souvent, l’absence de fluor est compensée
par la présence d’autres additifs toxiques. Alors? gaffe aux étiquettes écrites
en tout petit !
Source : www.alternativesante.fr
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